habitat collectif, 12 logements
hab. collectif. lutry (1990)
Cet habitat groupé de 12 logements de nature et grandeurs fort différentes, privilégie la mixité sociale. Entre ville et campagne, ce site est caractérisé au nord, par la forte présence d'une bretelle d'accès à l'autoroute, pas particulièrement bruyante, mais dont l'impact visuel et psychologique, s'est imposé comme l'une des directrices du projet. Le sud, avec vue panoramique sur le lac, a confisqué les ouvertures.
Notre attitude face aux références disparates du site, fut d'apporter une micro-urbanité à une sorte de "citadelle" dont la symbolique élémentaire, provoquerait une reconnaissance spontanée du lieu et, par là, le bien-être de s'y trouver. Ainsi, le parcours allant du "public" qu'est la rue, au "privé" qu'est le logement, est scandé d'évènements signifiants. le passage sous le portique, la descente à travers l'imposant mur de soutènement, la vision surplombante de la place, rythmée par la trame des façades, ponctuée par les puits de lumière et protégée par le mur, la traversée du pont vers l'espace semi-privé, à partir duquel s'articulent les liaisons verticales.
A l'austérité du nord, répond l'exubérance du sud, exprimée par une cascade de terrasses et jardins, à peine disciplinée par la géométrie d'une colonnade encadrant le paysage, se voulant rassurante et maagnifiante à la fois.
Notre attitude face aux références disparates du site, fut d'apporter une micro-urbanité à une sorte de "citadelle" dont la symbolique élémentaire, provoquerait une reconnaissance spontanée du lieu et, par là, le bien-être de s'y trouver. Ainsi, le parcours allant du "public" qu'est la rue, au "privé" qu'est le logement, est scandé d'évènements signifiants. le passage sous le portique, la descente à travers l'imposant mur de soutènement, la vision surplombante de la place, rythmée par la trame des façades, ponctuée par les puits de lumière et protégée par le mur, la traversée du pont vers l'espace semi-privé, à partir duquel s'articulent les liaisons verticales.
A l'austérité du nord, répond l'exubérance du sud, exprimée par une cascade de terrasses et jardins, à peine disciplinée par la géométrie d'une colonnade encadrant le paysage, se voulant rassurante et maagnifiante à la fois.
